Humidification

L’humidification de l’air consiste à injecter de l’eau sous forme d’un brouillard humide afin qu’il soit absorbé par l’air et ainsi d’augmenter le taux d’humidité. Plus les gouttelettes sont fines, meilleure sera l’absorption.

L’humidification de l’air est nécessaire dans certains cas, notamment les imprimeries, l’industrie du bois, l’industrie du textile, l’industrie du tabac, la peinture, les productions de fruits et légumes, les musées, la santé des personnes …

Il existe différentes technologies

C’est le plus commun et le plus simple des humidificateurs (ainsi que le plus économique). Ils comportent une paroi humide et poreuse qui est dans l’axe d’un ventilateur. L’air résultant est donc chargé en humidité. Voir explication du rafraîchissement d’air.

Ces humidificateurs évaporent de l’eau en la chauffant. La vapeur diffusée est douce et saine, sans bactérie ou champignon.

Le principal inconvénient de ce système est le coût (fonctionne à l’électricité) et la température de la vapeur.

La majorité du marché français est équipé avec cette technologie.

Un diaphragme métallique vibrant à une fréquence ultrasonore crée des microgouttelettes d’eau (de 1 à 3 microns) ionisées négativement.

Elles quittent l’humidificateur sous forme d’un brouillard frais. Ces appareils sont particulièrement silencieux.

Ce procédé est utilisé dans l’industrie agroalimentaire pour conserver la fraîcheur des fruits et légumes.

Au niveau de chaque buse, de l’air comprimé fait éclater le flux d’eau.

Les gouttelettes sont plus petites qu’avec les humidificateurs à haute pression (diamètre de 50 microns à 200 microns).

Une pompe à haute pression (environ 80 bars) pousse l’eau vers des buses.

Ils permettent de diffuser largement de grandes quantités d’eau pour humidifier l’air.

Les gouttelettes émises sont relativement grosses.

Il est nécessaire de les placer en hauteur pour éviter de mouiller au sol.

Exemples de produits